ENQUÊTE - Cette manière de travailler et de gérer des projets est devenue la coqueluche de beaucoup d'entreprises. Mais une vingtaine d'années après son arrivée dans le paysage professionnel, les critiques affluent. Alors, stop ou encore ?
La méthode irrite parce qu’elle n’est généralement pas appliquée correctement. Beaucoup débectent les scrums, alors qu’il ne s’agit plus de scrums. Ils ont été transformés en réunions fourre tout de 45-60 minutes. Un vrai scrum ça ne dure pas plus de 10 minutes et ça n’a pas d’impact néfaste sur la journée… Au contraire…
Quand j’étais chef de projet, moi et mon équipe ça durait 10-15 minutes et c’était parti pour la journée. Mais les jours où mon N+1 et/ou le DSI s’incrustaient, c’était tout de suite 1 heure voire plus.
Pour avoir bossé dans 5 ou 6 boîtes qui faisaient de l’agile, les managers s’emparent du process et font du cycle en V avec micro-management. Et comme ce sont les managers qui décident, ça fini toujours par partir en couille. Alors oui, l’agile c’est comme le vrai communisme : en théorie c’est marrant, dans la pratique ça n’existera jamais sauf pour une startup entre potes.
La méthode irrite parce qu’elle n’est généralement pas appliquée correctement. Beaucoup débectent les scrums, alors qu’il ne s’agit plus de scrums. Ils ont été transformés en réunions fourre tout de 45-60 minutes. Un vrai scrum ça ne dure pas plus de 10 minutes et ça n’a pas d’impact néfaste sur la journée… Au contraire…
Quand j’étais chef de projet, moi et mon équipe ça durait 10-15 minutes et c’était parti pour la journée. Mais les jours où mon N+1 et/ou le DSI s’incrustaient, c’était tout de suite 1 heure voire plus.
Pour avoir bossé dans 5 ou 6 boîtes qui faisaient de l’agile, les managers s’emparent du process et font du cycle en V avec micro-management. Et comme ce sont les managers qui décident, ça fini toujours par partir en couille. Alors oui, l’agile c’est comme le vrai communisme : en théorie c’est marrant, dans la pratique ça n’existera jamais sauf pour une startup entre potes.